Rapide
Le plâtre sèche très vite : le plâtrier ne doit pas perdre de temps pour effectuer ses travaux.
Soigneux(euse)
Les décorations et les enduits à réaliser demandent une grande minutie. Il doit être particulièrement appliqué car l’enduit peut être la décoration définitive de la cloison.
Résistant(e)
Le plâtrier est exposé à la poussière. Ses mains sont dans l’eau froide toute la journée et, de plus, il est souvent perché à de grandes hauteurs sur des échafaudages. Une bonne résistance physique est indispensable.
Enduire les surfaces
Après avoir « gâché » le plâtre en le diluant dans l’eau, le plâtrier enduit les sols, les murs et les plafonds. Muni d’une taloche, il étale le plâtre puis le lisse en appliquant un mélange plus fluide. Il peut aussi projeter l’enduit mécaniquement, créant ainsi des effets de matière ou de crépi.
Isoler et cloisonner
Entre le gros oeuvre et les finitions, le plâtrier intervient également pour poser les isolants thermiques ou acoustiques (laine de verre, polystyrène…), couler des chapes de béton pour les sols et monter des cloisons en briques plâtrières. Pour les plafonds, il utilise des matériaux prêts à poser (plaques, carreaux de plâtre…).
Décorer et embellir
Le plâtrier peut se spécialiser et devenir plaquiste pour poser des cloisons sèches prêtes à l’emploi (plaques de plâtre), staffeur ornemaniste pour façonner des éléments décoratifs (rosaces, corniches, gaines d’aération…), ou stucateur pour réaliser des moulures, créer des intérieurs de charme à l’aide de plâtre coloré…